EURL ou SASU ? Nos conseils pour choisir

Créer mon entrepriseLes entrepreneurs qui se lancent seuls dans un projet de création ou de reprise d’entreprise et qui envisagent d’exercer en société unipersonnelle sont confrontés à la problématique suivante : vaut-il mieux créer une EURL ou créer une SASU ?

La réponse à cette question dépend de plusieurs paramètres, dont certains sont inhérents au projet d’entreprise lui-même. Cela dit, il existe des critères universels, que nous avons choisis de présenter dans ce dossier répondant à la question : EURL ou SASU : comment choisir son statut juridique ?

Sommaire du dossier :

 Avant toute chose, il faut savoir que la SASU est la version unipersonnelle de la société par actions simplifiée (SAS) et que l’EURL est une société à responsabilité limitée (SARL) à associé unique. Les règles qui s’appliquent à ces sociétés unipersonnelles sont globalement les mêmes que celles en vigueur pour leur version « pluripersonnelle » à quelques exceptions près.

Cela dit, l’EURL est une forme juridique très encadrée par le Code de Commerce. Ce dernier laisse, en pratique, peu de marge de manœuvre à l’associé unique pour personnaliser sa société. C’est exactement le cas inverse pour la SASU. Les textes réglementent très peu ce statut juridique ; ils laissent, par conséquent, le soin à l’associé unique de le faire.

La liberté statutaire d’une SASU est, pour certains, un véritable atout. L’associé unique peut, dans ce cadre, configurer et organiser sa société comme il l’entend (ou presque). Pour d’autres, au contraire, elle est synonyme de risques. En effet, une attention particulière doit être portée à la rédaction des statuts. Tout oubli ou toute imprécision peut avoir de lourdes conséquences…

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EURL/SASU : un statut social protecteur mais coûteux pour le président de SASU

L’une des principales autres différences entre l’EURL et la SASU est le statut social du dirigeant lorsque ce dernier est également l’associé unique de la société. Dans cette configuration :

  • Le gérant associé unique d’une EURL est un travailleur non-salarié (il doit s’affilier à la sécurité sociale des indépendants – SSI),
  • Le président associé unique d’une SASU est un dirigeant assimilé-salarié (il doit s’affilier au régime général de la sécurité sociale).

Cette différence de statut a de nombreux impacts :

  • Taux des cotisations sociales : à rémunération équivalente, les charges sociales sont beaucoup plus élevées pour le président de SASU (80 %) que pour le gérant d’EURL (45 %) ;
  • Cotisations sociales minimales : le gérant majoritaire d’EURL qui ne perçoit aucune rémunération doit tout de même s’acquitter de cotisations minimales (ce qui n’est pas le cas en SASU) ;
  • Étendue de la protection sociale : le président de SASU est mieux loti que le gérant associé unique d’EURL, notamment en matière d’indemnités journalières et d’accident du travail ;
  • Gestion administrative : toute SASU rémunère son président de SASU doit établir des fiche de paie, envoyer des déclarations sociales nominatives, etc. Pour l’EURL, un simple procès-verbal suffit.

En résumé :

  • Opter pour une EURL permet de bénéficier d’une rémunération plus importante au détriment de la protection sociale (dont l’écart peut toutefois être comblé en souscrivant des contrats d’assurance privée),
  • Opter pour une SASU permet de bénéficier d’une meilleure protection sociale globale, mais coûte beaucoup plus cher à la société et nécessite, par ailleurs, une gestion de la paie plus aboutie.

SASU ou EURL : le libre choix du régime d’imposition des bénéfices en EURL

Par défaut, les bénéfices d’une EURL sont directement imposés entre les mains de l’associé unique. L’EURL relève donc, en principe, de l’impôt sur le revenu (IR) lorsque l’associé unique est un particulier. Elle peut toutefois opter pour une imposition des bénéfices à l’impôt sur les sociétés (IS) sans limite de temps. Une EURL peut donc, en théorie, choisir librement son régime d’imposition (IR ou IS).

Les bénéfices d’une SASU sont, en revanche, imposables à l’impôt sur les sociétés (IS) de plein droit. Une SASU ne peut opter pour l’impôt sur le revenu pour une durée illimitée. Certaines SASU peuvent toutefois, sous certaines conditions, opter pour l’IR. L’option ne dure que 5 exercices comptables au maximum. Au-delà, la SASU change de régime fiscal et relève de l’IS.

Dans certaines situations, et notamment si le projet de création d’entreprise se situe dans une zone à fiscalité privilégiée (Zones France Ruralités Revitalisation par exemple), il vaut généralement mieux opter pour une structure soumise à l’impôt sur le revenu. L’EURL présente, en ce sens, un avantage précieux : en SASU à l’IS, le bénéfice est bien exonéré d’impôts, mais pas la distribution de dividendes.

Soulignons enfin que, contrairement à la SASU, l’EURL peut opter pour le régime micro-entreprise si son associé unique est une personne physique (un particulier) et qu’il exerce également les fonctions de gérant. L’EURL bénéficie, grâce à ce régime, d’un système simplifié de calcul et de recouvrement des cotisations sociales et impôts.

EURL ou SAS : l’optimisation de la sortie des ressources avec la SASU

Lorsque la stratégie de rémunération du créateur d’entreprise est orientée sur de la prise de dividendes, la SASU peut présenter un avantage considérable sur l’EURL.

En effet, les dividendes attribués au gérant associé unique d’une EURL relevant de l’impôt sur les sociétés sont soumis aux cotisations sociales pour la partie qui excède 10 % de la somme suivante : capital social + prime d’émission + sommes versées en compte courant d’associé. Concernant le volet fiscal, le montant soumis aux cotisations sociales supporte également la CSG et la CRDS au taux « préférentiel » de 9,70 % (contre 17,20 % pour la SASU avec l’ensemble des prélèvements sociaux). Un acompte d’impôt sur le revenu est également précompté au taux de 12,80 % (comme pour la SASU).

En SASU, les dividendes ne supportent jamais les cotisations sociales. Les distributions sont soumises au prélèvement forfaitaire unique de 30 %. Ce dernier comprend les prélèvements sociaux au taux de 17,20 % et un acompte d’impôt sur le revenu au taux de 12,80 %. Une partie de la CSG est, par ailleurs, déductible du revenu fiscal imposable en cas d’option pour le barème progressif de l’impôt sur le revenu. Concrètement, la SASU permet d’optimiser les sorties de ressources en effectuant un arbitrage entre les salaires (soumis aux cotisations sociales) et les dividendes (bénéfices soumis à l’IS, puis à l’IR lors de la distribution).

EURL ou SASU : le maintien des allocations chômage moins évident en EURL

Lorsque l’EURL ou la SASU sont fiscalement imposées à l’impôt sur les sociétés, le chef d’entreprise peut maîtriser les règles liées au maintien de son aide au retour à l’emploi (ARE) :

  • En SASU : s’il ne prend aucune rémunération, l’ARE est intégralement maintenue (100 %). Au passage, il peut percevoir des dividendes sans que cela n’ait d’impact sur ses droits.
  • En EURL : s’il ne prend pas de rémunération et ne touche pas de dividendes soumis aux cotisations sociales, l’ARE est maintenue à 100 %.

En revanche, lorsque l’EURL et la SASU sont soumises au régime des sociétés de personnes, une différence notable existe :

  • En SASU : le bénéfice revenant au président associé unique n’est pas un revenu soumis aux cotisations sociales, il n’a donc normalement aucun impact sur l’ARE ;
  • En EURL : le bénéfice revenant au gérant associé unique est soumis aux cotisations sociales, ce qui risque donc d’impacter totalement ou partiellement le montant de l’ARE.

EURL ou SASU : les autres différences entre ces 2 statuts juridiques

L’EURL et la SASU se distinguent sur quelques points techniques. Les voici :

  • Le gérant d’une EURL est forcément une personne physique (un particulier) alors que le président d’une SASU peut être un particulier ou une personne morale (une autre société) ;
  • L’associé unique d’EURL doit verser au moins 20 % des apports d’argent qu’il a souscrit lors de la constitution, contre 50 % pour l’associé unique de SASU ;
  • Les cessions d’actions supportent des droits d’enregistrement aux taux de 0,10 %, contre 3 % pour les parts sociales (après abattement de 23 000 € pour la totalité des parts) ;
  • En cas d’apport d’un bien commun, l’associé unique d’EURL doit avertir son conjoint et, pour certains apports, obtenir son consentement. Sauf renonciation, le conjoint peut revendiquer la qualité d’associé ;
  • Le conjoint qui participe à l’activité professionnelle peut bénéficier du statut de conjoint collaborateur en EURL (cette possibilité n’existe pas en SASU) ;
  • Le président de SASU peut cumuler son mandat social avec une activité de micro-entrepreneur. En revanche, un gérant associé unique d’EURL n’en a pas le droit ;
  • Le passage à plusieurs associés entraîne, pour l’EURL soumise à l’IR, un changement de régime fiscal (la SARL étant soumise à l’IS) avec toutes ses conséquences…

EURL ou SASU : les points communs entre les deux statuts juridiques

La SASU et l’EURL présente de nombreuses similitudes. Parmi elles, on retrouve notamment (liste non-exhaustive) :

  • Les formalités de création : elles sont identiques pour l’EURL et la SASU, à l’exception près que la rédaction des statuts est une étape plus complexe en SASU ;
  • La responsabilité de l’associé unique : dans les deux formes juridiques, l’associé unique n’engage sa responsabilité que dans la limite de ses apports (ses biens personnels sont protégés) ;
  • Capital social minimum : la loi n’impose pas de minimum en la matière. Elle oblige simplement l’associé unique à effectuer un apport. Il peut s’élever à l’euro symbolique ;
  • Apports au capital social : tous les types d’apports sont autorisés en EURL, comme en SASU (numéraire, nature ou industrie). Les apports en industrie n’intègrent pas le capital.
  • Gestion et direction de la société : dans les deux statuts, les pouvoirs appartiennent au dirigeant (président ou gérant) qui doit rendre des comptes à l’associé unique ;
  • Obligations administratives : l’EURL, comme la SASU, doivent tenir une comptabilité, établir des comptes annuels et les déposer au greffe du tribunal de commerce ;
  • Nomination d’un commissaire aux apports et d’un commissaire aux comptes : les conditions de désignation sont identiques en EURL et en SASU.

Conclusion sur le choix du statut juridique (EURL ou SASU)

Ce dossier du Coin des Entrepreneurs a abordé plusieurs sujets importants à prendre en compte dans le choix entre l’EURL et la SASU : enjeux de la décision, critères de sélection, avantages et inconvénients de chaque statut juridique.

Cela dit, il n’existe pas de forme d’entreprise idéale. En réalité, une forme juridique est adaptée à un projet en particulier.

Pour aller plus loin dans la réflexion, vous pouvez consulter ces dossiers complémentaires :

En cas de doute, nous vous recommandons de faire valider votre choix par un professionnel.

Pierre Facon

Co-fondateur - Le Coin des Entrepreneurs
Média online de référence sur la création, la reprise et la gestion d'entreprise
Application digitale pour accompagner les entrepreneurs dans leurs projets
Expert en création d’entreprise

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24 commentaires sur “EURL ou SASU ? Nos conseils pour choisir”

  1. Jean dit :

    Bonjour Pierre,
    Merci pour cet article.
    Quels seraient les avantages et inconvénients de l’un ou l’autre des statuts, si la SASU ou l’EURL est détenue par une personne morale (sas) en montage en holding ?
    Merci,
    Cordialement

    • Pierre Facon dit :

      Bonjour,
      Je ne vois pas trop de différence étant donné que ces deux structures peuvent permettre le régime mère et filiale ou l’intégration fiscale.
      De plus, s’agissant d’une structure à un seul associé, son fonctionnement reste très simple.

    • Thibaut Clermont dit :

      Bonjour,
      A mon sens, la principale différence résidence dans la direction de la société.
      Le dirigeant d’une EURL est un gérant et il doit obligatoirement s’agir d’une personne physique, c’est-à-dire d’un particulier.
      Si votre SAS est l’associé unique de votre EURL, elle ne pourra pas être nommée gérante.
      En revanche, si vous choisissez la SASU, c’est possible. La SAS pourra être nommée président. Elle devra alors choisir un représentant.
      Autrement, pour le reste, je ne vois pas réellement de différences. Bonne journée. Cordialement, Thibaut Clermont.

  2. saida dit :

    Bonjour,

    Je perçois actuellement une allocation chômage et je compte créer mon entreprise, cette année, seule. Je souhaite continuer à percevoir mes ARE tout en limitant un régime trop contraignant administrativement (fiche de paie…). Mon entreprise étant dans le textile je dois pouvoir accueillir des investisseurs dans le futur, éventuellement dans le cadre de levée de fonds.
    Je préfère l’IS à l’IR car je ne veux pas ajouter le bénéfice aux revenus de mon foyer (je suis mariée) et je souhaite pouvoir me verser quelque chose mais sans formalisme (pas de fiche de paie…) du moins dans un premier temps.

    Que conseillez vous comme forme juridique (EURL, SASU, SARL…)?

    merci de votre retour.
    cordialement.

    • Pierre Facon dit :

      Bonjour,
      Comme je le signale à plusieurs reprises, je ne peux me permettre de vous conseiller efficacement sur le choix de votre statut par échanges de commentaires, cela nécessite une étude plus rigoureuse.
      Si vous souhaitez prendre un salaire sans formalisme, c’est plutôt vers la SARL qu’il faut se tourner. Toutefois, ce seul critère ne peut justifier le choix d’un statut.

  3. thierry dit :

    Bonjour,
    j’aimerai avoir vos lumières sur le meilleurs choix de statut. je compte créer une entreprise et pas me rémunérer pendant 15 mois. je compte également profiter de l’ARE avec un maintien à 100% de mes allocations. à la fin des 15 mois. j’espère pouvoir me verser 2000€ de salaire mensuel.
    Quel statut est à privilégier sachant que j’ai encore droit à 23 mois d’allocation, je vis dans les DOM et peux avoir droit à l’Exonération partielle de cotisations sociales pendant 24 mois (si EURL ou SARL).

    Je souhaite rester sur une société et une entreprise individuelle.
    cordialement,

  4. Dan dit :

    Bonjour a tous,

    Avez vous l’amabilité de m’apporter une repose concrète à ce cas bien précis, :

    SASU option IR

    CA : 90 KE
    Frais/Charges : 10KE
    Aucun salaire versé au Président associé, uniquement des dividendes.
    Bénéfice Net : 80 KE

    Mes questions :

    1. Quel sera l’imposition finale du Président sur la distribution des dividendes pour un montant de 40KE en tant que revenu unique?

    2. Que devient excédant de trésorerie de 40K restant sur le compte de la SASU, en sachant que en IR il n’a aucune charges sociales ou impôts directs sur la société, uniquement l’impôt sur le revenu « de la partie distribuée » des dividendes ?

    J’espère que quelqu’un pour comprendre exactement la subtilité de la question Nr 2 et m’apporter les précieux renseignements .

    Merci a vous,
    A+

    • Pierre F. dit :

      Bonjour,
      En SASU à l’IR vous serez imposé personnellement à l’impôt sur le revenu sur une base de 80000 euros.

  5. Albert dit :

    Bonjour,

    Déjà merci car votre site est une vrai source d’informations et de conseils lorsque l’on se pose pas mal de questions sur la création d’entreprise.

    Peut être pouvez-vous me conseiller :

    Je touche actuellement le chômage mais je souhaiterai réaliser quelques missions de freelance sans pour autant perdre mon ARE.

    J’hésite entre créer une SASU ou une EURL.

    Le montant des revenus serait d’environ 1700€ par mois et je ne prévoi pas de me verser de salaire à long terme, simplement le versement de dividendes.

    Que me conseillez-vous ? Cela semble plus intéressant en SASU pour les dividendes mais les obligations administratives ont l’air assez lourdes.

    je vous remercie par avance,

    Albert

    • Pierre F. dit :

      Bonjour,
      A première vue, je vous conseille plutôt l’auto-entreprise pour ce type d’activité et ce montant de revenu.

  6. Antoine dit :

    Bonjour,

    Dans le cas de la SASU à l’IR j’aurai besoin de quelques précisions.

    Dans le cas évoqué par Ryan, il y a un bénéfice net de 60k€, soumis à l’IR et au prélèvement sociaux à hauteur de 8%. Mais étant donné qu’il n’y a pas de salaire, l’argent reste sur le compte de la société ? Le président continue de toucher les ARE ?

    Car dans ce cas, l’impôt sur les sociétés qui se serait appliqué à 60k€ aurait été plus avantageux que 8% + IR non ?

    Voilà, ce n’est pas très clair pour moi, merci pour vos lumières.

    • Pierre F. dit :

      Non, vous pouvez dans ce cas percevoir le bénéfice. Toutefois, la législation sur la SASU risque d’évoluer : il y aura un assujettissement du bénéfice aux charges sociales si l’associé unique est dirigeant.

  7. Sam dit :

    Bonsoir,

    Merci pour ton fichier excel, il m’est très utile pour effectuer des simulations.

    J’ai tout de même quelques doutes sur les résultats, je pensais que la SASU était moins avantageuse lorsque la rémunération est élevée et pourtant j’ai bon jongler entre dividende et salaire versé, la SASU est toujours avantageuse, est ce normal ?

    J’ai effectué la simulation avec un CA de 90 000 euros et 10 000 euros de frais.

    • Steven dit :

      Bonjour,

      Le 29 mai, SAM a remercié pour un fichier excel qui serait bien fait et qui permettrait de faire des simulations.

      Sauf erreur de ma part, je ne trouve pas ce fichier excel.

      Comment peu-t-on accéder à ce fichier ?

      Par avance, merci

    • Pierre F. dit :

      Aucune idée.

  8. rené dit :

    bonjour,

    pouvons nous être dirigeant d’une SASU et prétendre aux indemnités de pole emploi si aucun revenu n’est dégagé ?

    • Pierre F. dit :

      Bonjour,

      Il s’agit de créer la SASU avant ou après l’inscription à pôle emploi ?

  9. Rebsid dit :

    Bonjour,

    Attention à deux détails indiqués :
    Il est écrit : »5. L’impact de l’ARE sur le choix EURL ou SASU
    En SASU : s’il ne prend aucune rémunération, l’ARE est maintenue à 100% ; »
    Pole emploi de son coté indique que l’ARE reste valide mais décompte 594,51 € / mois sur la première année et 844,83 € / mois ensuite. Sachant que l’allocation ne dépassera pas 15 mois.
    Enfin pas besoin de demander l’ACCRE pour continuer de bénéficier du maintien partiel des allocations, c’est uniquement dans le cas du choix « d’aide sous forme de capital ».

    Cdlt

  10. Ryan dit :

    Bonjour ,

    Je suis Developpeur Web et je beneficie des assedics depuis peu.Je compte créer une SASU option IR et voilà mes prévisions sur 2014 :

    CA : 70 KE
    Salaire : 0 ( pas de salaires les 15 premier mois car je vais demander l ACCRE et le maintien de revenu pole emploi)
    Charges : 10KE

    Benefice Net : 60 KE
    Ma question : est ce que les 60 KE sont soumis aux cotisations sociales de 15.5% ? ou directement soumis a l’IR , dans ce cas est ce que c considéré comme des revenus BIC ou BNC.

    Merci d’avance pour votre réponse.

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